suntimes.com 18/10/2011

Baker followed his own advice — and it paid off

By Cindy Pearlman

Simon Baker, star of “The Mentalist,” recalls a time when he thought acting wasn’t a career option.

“As a kid growing up in Australia, I was told, ‘That’s not a job. It’s sort of a fantasy.’

“I was told, ‘You have to get a job, Simon, and then you can act all you want at the pub on a Friday night. But you better get a real job, so you can afford to go to the pub.’”

Baker has plenty of beer money these days. As he drives from his Los Angeles home to Warner Brothers, where he shoots the hit CBS series, he says, “I get this little moment each time I drive through the gates of the studio. I think, ‘Holy s---,’ I work here?’ When I see Warner movies and the logo with the aerial shot of the studio comes up, I always point to the screen and tell my wife, ‘There’s my trailer. That’s the stage I shoot on.’

“My wife and I have been in L.A. a long time,” he says. “We constantly say, ‘How did we end up living there?’”

He’s not just starring in but also directing episodes of his series. And he stars opposite Jeremy Irons, Kevin Spacey and Demi Moore in the drama “Margin Call” about the financial collapse.

Baker, 43, plays one of the suits at an investment bank during 24 hours in the early stages of the financial collapse. “The film is about a pretty historic moment that had such a wide-reaching effect on everyone,” he says. “What I thought was interesting is how little most of us know about how financial systems work. I found out it’s such a Pandora’s box. It’s one box inside another of trading and debt and I’ll buy your debt from you.

“Some of it was way over my head,” he says. “The sad part is how greed-based the whole thing is.”

Baker, a father of three, says he doesn’t live too high on the hog. “I’ve always taken a blue-collar approach to things,” he says. “I’m the guy who was told, “You can’t be an actor. Don’t be an idiot.’ So, I really think I’m a lucky bloke.”

Source

 

TRADUCTION:

 

Baker a suivi son propre conseil et ça a payé.

Par Cindy Pearlman

 

Simon Baker, la star de Mentalist, se rappelle du temps où il pensait que le cinéma n’était pas une option de carrière.

« En tant que gosse qui a grandi en Australie, je me disais, ce n’est pas un travail, c’est une sorte de fantaisie »

« Je me disais, Simon tu dois te trouver un travail et puis après, tu pourras jouer tout ce que tu veux au pub le vendredi soir. Mais tu ferais mieux d’avoir un vrai travail, et après tu pourras te permettre d’aller au pub. »

Baker avait beaucoup d’argent de la bière à cette époque. Alors qu’il conduit de sa maison de LA jusqu’aux studios de la Warner Brothers où il tourne dans une des séries à succès de CBS, il dit : «  je me rappelle ce petit moment à chaque fois que je conduis à travers les barrières des studios. Je pense ‘ Holy  s---‘ je travaille ici ? Quand je vois les films de la Warner et le logo avec les vues aériennes du studio arriver, je pointe toujours sur l’écran et dis à ma femme : « ça c’est ma bande-annonce. Et ça la scène que j’ai tourné ».

« Ma femme et moi habitons LA depuis un long moment », il dit, «  nous disons constamment ‘combien de temps nous reste-t-il encore à vivre ici ? »

Il ne se contente pas seulement d’incarner le personnage principal, mais il a aussi réalisé quelques épisodes de sa série. Et il s’est confronté à d’autres stars telles que Jeremy Irons, Kevin Spacey et Demi Moore  dans le film dramatique « Margin Call » au sujet de la crise financière.

Baker, 42 ans, joue un des grands bonnets d’une banque d’investissement durant les 24 heures précédant la crise financière. «  Le film parle d’un moment assez historique qui a eu un effet de grande envergure sur tout le monde », il dit, « ce que je trouvais d’intéressant, c’est comment une petite partie de la plupart d’entre nous connaissait les ficelles du système financier. J’ai découvert que c’était telle une boîte de Pandore. C’est une boite à l’intérieure de laquelle il y a une autre de négociation et de dettes et je rachèterai votre dette »

« Certaines d’entre elles me dépassaient », dit-il. « La partie la plus triste est comment la cupidité est basée sur une chose entière »

Baker, papa de 3 enfants, dit qu’il ne vit pas au-dessus de ses moyens. « J’ai toujours eu une approche de ‘col bleu’ envers les choses » dit-il. « Je suis le gars qui disait, « tu ne peux pas être un acteur. Ne soit pas idiot ». Donc je pense vraiment  que je suis un mec chanceux ».

 

Par Launceston